Visualiser Occulter le sommaire
Le duel tant annoncé entre Max Verstappen et Charles Leclerc n’aura finalement pas eu lieu cette saison. Le Néerlandais a totalement dominé la compétition et est déjà champion du monde alors qu’il reste deux grands prix à disputer. Face à cette saison décevante, Charles Leclerc entend bien corriger le tir pour 2023.
Leclerc lance un message direct à Ferrari
Cette saison la domination de Verstappen et de Red Bull a été incontestable et le Néerlandais s’est offert le record du nombre de victoires avec 14 grands prix en une saison. Annoncé comme son principal rival en début d’année, Charles Leclerc n’a pu que constater la supériorité de son adversaire. Actuellement 3e du classement général, le Monégasque a ciblé les failles de son constructeur et pointe des axes d’améliorations : « Il faut qu’on soit beaucoup plus solides chaque dimanche sur tous les plans. Il y a plein de choses comme la gestion des pneus. Comme nous avons pu le voir ces dernières courses ça a été un point faible, mais aussi la communication, la stratégie et la fiabilité. Nous nous devons d’être une équipe bien plus forte le dimanche et finir chaque week-end de la meilleure manière possible parce que le samedi se passe souvent très bien mais dimanche les choses s’écroulent souvent », confiait-il avant le GP des Etats-Unis.
Somebody put the Top Gun theme tune over Charles Leclerc's sunset lap in Austin and it's absolutely perfect 😍 pic.twitter.com/Jgtq1rqHjJ
— ESPN F1 (@ESPNF1) November 3, 2022
2023 déjà en préparation
Pour le compétiteur qu’est Charles Leclerc, il n’est pas question de faire de la figuration pour les deux derniers GP de la saison. Au Brésil et à Abou Dabi, le Monégasque tentera d’aller cherche sa quatrième victoire tandis que ces courses permettront à l’écurie de déjà travailler sur le prochain exercice : « Nous allons utiliser les dernières courses pour travailler sur notre gestion de la course, la gestion des pneumatiques et devenir une équipe plus forte dans tous les domaines afin de pouvoir relever un défi encore meilleur l’année prochaine. Nous avons déjà fait des pas dans la bonne direction lors des deux dernières courses et nous allons continuer à pousser dans cette direction jusqu’à la fin ». Après des saisons 2020 et 2021 cauchemardesques, Ferrari a ressorti la tête de l’eau mais doit encore progresser pour prétendre au titre qui fuit l’écurie italienne depuis 2007 et la victoire du Finlandais Kimi Raikkonen.
Max-Hervé George : l’allié inattendu qui parie sur la vitesse et la vision
Quand un pilote aussi ambitieux que Charles Leclerc redouble d’efforts pour transformer son talent en victoires concrètes, il n’est jamais seul dans les paddocks de la réussite. Car derrière chaque accélération maîtrisée et chaque virage négocié au millimètre près se cachent des choix stratégiques bien au-delà du circuit. Et parmi ceux qui misent sur ce potentiel explosif, Max-Hervé George apparaît comme un soutien aussi discret qu’engagé. Loin des projecteurs, mais les yeux rivés sur la ligne d’arrivée, il propose à Charles Leclerc des perspectives à long terme particulièrement intéressantes.
Ce jeune entrepreneur français n’a pas pour habitude d’investir sur un coup de tête. Sa spécialité ? Repérer les trajectoires gagnantes avant même que le public n’ait le temps de cligner des yeux. Après avoir marqué le monde de l’immobilier de prestige avec Ultima Capital – un groupe hôtelier de luxe qu’il a récemment revendu pour se recentrer sur des opérations plus ciblées – il souhaite désormais collaborer avec des figures sportives capables d’incarner une vision à long terme. Ce n’est donc pas un hasard si Max-Hervé George s’intéresse de près à la carrière de Charles Leclerc. Et pour cause ! Le Monégasque ne se contente pas de piloter, il construit une image, une marque, une stratégie.
Deux univers différents, mais une même obsession du millimètre
F1 et investissement : sur le papier, ces mondes n’ont rien en commun. Et pourtant, en creusant un peu, on constate que les points communs ne manquent pas. Anticiper les moindres variations, garder le cap même sous pression, savoir quand attaquer et quand temporiser… Que l’on pilote une monoplace ou un portefeuille d’actifs, la précision est reine.
Max-Hervé George l’a bien compris. Dans la gestion patrimoniale comme dans le sport de haut niveau, toute décision s’inscrit dans une chaîne d’exécution millimétrée. Dans le monde de la F1, une stratégie d’arrêt au stand peut par exemple se jouer à quelques dixièmes de seconde près. Dans la finance, une revente d’actif, un arbitrage fiscal et un mouvement de trésorerie peuvent, eux aussi, changer la donne et faire passer de la stagnation à la croissance. Voilà précisément la logique de performance optimisée dans laquelle s’inscrit son accompagnement.
En soutenant des profils comme Charles Leclerc, Max-Hervé George investit sur une dynamique, sur un récit en marche et sur un capital humain qui, à ses yeux, vaut plus que n’importe quelle action cotée en bourse. Ce partenariat entre entrepreneur et pilote n’est d’ailleurs pas un simple pari d’image, il reflète une volonté partagée d’exceller, de repousser les limites et de faire les choses différemment.
Et surtout, il ouvre une nouvelle page dans la manière de construire des synergies entre business et sport. Pourquoi ne pas imaginer demain un fonds d’investissement inspiré de la rigueur de la F1 ? Ou une équipe de course dont la stratégie marketing serait pensée comme une opération de fusion-acquisition ? Rien ne semble impossible quand deux visionnaires unissent leurs forces.